Climat - L’étonnante histoire derrière l’escroquerie du réchauffement global



L’étonnante histoire derrière l’escroquerie du réchauffement global


(Source : Futur Quantique)


Les acteurs clés sont maintenant tous en place à Washington et dans les gouvernements des autres pays de toute l’Amérique pour étiqueter officiellement le dioxyde de carbone comme un polluant et promulguer des lois qui nous taxent, nous les citoyens, pour nosmoindres émanations de carbone. Seuls deux détails se dressent en travers du chemin, la période économique chancelante et un revirement spectaculaire du temps vers un climat plus froid. Les deux derniers hivers rigoureux ont abouti à un éveil dans la conscience du public au fait que le CO2 n’est pas un polluant et qu’il n’est pas un gaz à effet de serre significatif qui provoque un réchauffement global débridé.

Comment sommes-nous arrivés à ce point où une mauvaise science dirige le gouvernement ?

Commentaire : Peut-être parce qu’il y a un profit politique et financier à acquérir en déviant l’attention du public de ce qui se passe réellement ici sur la grosse boule bleue.
Si vous vouliez masquer les véritables causes, ces influences cosmiques qui sont des cycles naturels répétitifs de réchauffements et refroidissements massifs soudains– tel qu’enregistré à maintes reprises dans l’histoire de la Terre – quel meilleur moyen que de focaliser l’attention du public vers l’intérieur plutôt que vers l’extérieur ?

Il serait naïf de penser que les gouvernements sont inconscients des processus impliqués, la recherche et les preuves sont là pour ceux qui regardent, cette ignorance du public est délibérée.
L’histoire commence avec un océanographe nommé Roger Revelle. Il a servi dans la Navy pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il est devenu le directeur du Scripps Oceanographic Institute à La Jolla à San Diego en Californie. Revelle vit l’opportunité d’obtenir un financement important de la Navy pour faire des mesures et des recherches en mer dans les atolls du Pacifique où l’armée étasunienne réalisait des tests de bombe atomique. Il étendit grandement les domaines d’intérêt de l’institut et, entre autres, engagea Hans Suess, un chimiste renommé de l’université de Chicago qui était très intéressé par les traces de carbone dans l’environnement par suite de la combustion des carburants fossiles. Revelle se joignit aux études de Suess et co-signa un article avec lui en 1957. L’article émet la possibilité que le dioxyde de carbone puisse créer un effet de serre et provoquer un réchauffement atmosphérique.
Cela semble être un prétexte pour financer d’autres études. Le financement,  était la préoccupation principale de Revelle.

Après cela Revelle engagea un géochimiste nommé David Keeling afin de concevoir un moyen pour mesurer le contenu atmosphérique de dioxyde de carbone. En 1960, Keeling a publié son premier article montrant l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère et associant l’augmentation à la combustion des carburants fossiles.
Ces deux articles de recherche devinrent les fondements de la science du réchauffement global, même s’ils n’apportaient pas la preuve que le dioxyde de carbone était effectivement un gaz à effet de serre. En outre, ils n’expliquaient pas comment ce gaz à l’état de traces, seulement une minuscule fraction de l’atmosphère, pouvait avoir un impact significatif sur les températures.
Laissez-moi maintenant vous ramener dans les années 1950 quand cela se passait. Nos villes étaient entourées d’un voile de pollution produit par les rudimentaires moteurs à combustion interne qui équipaient les voitures et les camions à cette époque et par les émissions non contrôlées des centrales thermiques et des usines. Les voitures, les usines et les centrales thermiques remplissaient l’air avec toutes sortes de polluants. Il y avait un souci valable et sérieux des conséquences sanitaires de cette pollution et un fort mouvement environnemental se développait pour exiger une action. Le gouvernement accepta ce défi et de nouvelles normes environnementales furent établies. Les scientifiques et les ingénieurs vinrent à la rescousse. De nouveaux carburants reformulés étaient développés pour les voitures comme le furent les nouveaux moteurs contrôlés par ordinateur et les pots catalytiques. Au milieu des années 70, les voitures n’étaient plus de gros pollueurs, libérant seulement un peu de dioxyde de carbone et de vapeur d’eau par le tuyau d’échappement. De la même manière, un nouveau processus de fabrication de carburant etdes filtres de cheminée furent ajoutés aux usines et aux centrales thermiques et leurs émissions furent grandement également réduites.
Mais un mouvement environnementaliste avait été créé. Son financement et son existence même dépendaient d’une situation de crise continue. Alors, les articles de Scripps arrivaient au bon moment. Et avec eux, arrivait la naissance d’un sujet ; le réchauffement global par le dioxyde de carbone suite à la combustion des carburants fossiles est créé par l’homme.
Revelle et Keeling ont utilisé ce nouvel alarmisme pour garder l’accroissement de leur financement. D’autres chercheurs aux motivations environnementalistes et avides de financement virent ce développement et s’y joignirent également. Les subventions de recherche commencèrent à couler et l’hypothèse alarmante commença à apparaître partout.
La courbe de Keeling montrait une augmentation constante du CO2 dans l’atmosphère pendant la période commençant à la découverte du pétrole et du charbon et leur utilisation par l’homme. Aujourd’hui, le dioxyde de carbone a augmenté de 215 à 385 parties par million. Mais, malgré les augmentations, ce n’est toujours qu’un gaz à l’état de traces dans l’atmosphère. Bien que l’augmentation soit réelle, le pourcentage de l’atmosphère en CO2 reste minuscule, environ 0,41 centièmes d’un pour cent.
Plusieurs hypothèses apparurent dans les années 70 et 80 à propos de la manière dont ce minuscule composant atmosphérique de CO2 pourrait causer un réchauffement significatif. Mais elles restèrent non prouvées. Les années avaient passé et les scientifiques continuaient à chercher des preuves du réchauffement et de leurs théories. Et, les demandes de financement et revendications écologiques continuaient à s’accumuler.
Dans les années 1960, cette recherche sur le réchauffement global attira l’attention d’un bureaucrate des Nations Unies d’origine canadienne appelé Maurice Strong. Il cherchait des sujets qu’il pourrait utiliser pour satisfaire son rêve d’un gouvernement mondial unique. Strong organisa une journée mondiale de la Terre en 1970 à Stockholm en Suède. De là il développa un comité de scientifiques, écologistes et fonctionnaires politiques des Nations Unies pour continuer une série de rencontres.
Strong développa le concept que les Nations Unies pourraient demander des paiements de la part des nations développées pour le dommage climatique causé par la combustion des carburants fossiles au bénéfice des nations sous-développées, une sorte de taxe sur le CO2 qui serait le financement pour son gouvernement mondial unique. Mais il avait besoin d’autres preuves scientifiques pour soutenir sa thèse principale. Strong oeuvra alors à la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat [1] (GIEC) des Nations Unies. Ce n’était pas une pure organisation scientifique sur l’étude du climat, comme nous avons été amenés à le croire. C’était une organisation de bureaucrates des Nations Unies du gouvernement mondial unique, d’activistes écologistes et de scientifiques de l’écologie qui sollicitaient le financement des Nations Unies afin qu’ils puissent produire la science dont ils avaient besoin pour arrêter la combustion des carburants fossiles. Au cours des 25 dernières années, ils ont été très efficaces. Des centaines d’articles scientifiques, quatre rencontres internationales majeures et plus tard des volumes d’histoires d’actualités sur l’Armaggedon climatique, le GIEC des Nations Uniesa établi ses arguments à la satisfaction de la plupart des gens et a même partagé un Prix Nobel de la Paix avec Al Gore.
Au même moment que Maurice Strong était occupé aux Nations Unies, les choses commençaient à échapper au contrôle de l’homme qui est maintenant appelé le grand-père du réchauffement global, Roger Revelle. Il avait été politiquement très actif à la fin des années 1950 quand il oeuvrait à ce que l’université de Californie crée un campus à San Diego, contigu à l’institut Scripps à La Jolla. Il remporta cette guerre majeure, mais perdit ensuite une bataille tout aussi importante quand il fut battu dans le choix du premier président du nouveau campus.
Il quitta finalement Scripps en 1963 et alla à l’université d’Harvard pour créer un Centre d’Études Populaires. Ce fut là que Revelle inspira à un de ses étudiants à devenir un activiste majeur du réchauffement global. Cet étudiant dira plus tard, « C’était tout privilège que de pouvoir entendre les valeurs de certaines de ces mesures dans un groupe d’une douzaine d’étudiants maximum. Voilà que ce professeur présentait quelque chose, ne datant pas de quelques années, mais sortant tout frais du labo, avec de profondes implications pour notre avenir ! » L’étudiant le décrivait comme « un professeur visionnaire et merveilleux » qui était « une des premières personnes dans l’académie à tirer le signal d’alarme au sujet du réchauffement global. » Cet étudiant était Al Gore. Il considérait le Dr Revelle comme son mentor et se référait à lui fréquemment, relayant ses expériences en tant qu’étudiant dans son livre « Earth in the balance », publié en 1992.
Donc Roger Revelle était bien le grand-père du réchauffement global. Son œuvre a posé les fondations pour le GIEC des Nations Unies, fourni les munitions anti-carburants fossiles au mouvement écologiste et envoyé Al Gore en route vers ses livres, son film, son Prix Nobel de la Paix et une centaine de millions de dollars de business du crédit-carbone.
Ce qui est arrivé ensuite est étonnant. La frénésie du réchauffement global devenait la cause vedette des médias. Après tout, les médias sont essentiellement libéraux, adorent Al Gore, adorent nous avertir des désastres imminents et nous disent « le ciel est en train de tomber, le ciel est en train de tomber. » Les politiciens et les écologistes adorent le faire aussi.
Mais le vent tournait pour Roger Revelle. Il fut forcé de quitter Harvard à l’âge de 65 ans et retourna en Californie dans une demi-retraite à l’université de Californie à San Diego. Là il eut le temps de repenser au dioxyde de carbone et à l’effet de serre. L’homme qui avait inspiré Al Gore et donné aux Nations Unies la recherche fondamentale dont elles avaient besoin pour lancer son GIEC avait des doutes. En 1988, il écrivit deux lettres édifiantes aux membres du Congrès. Il écrivit, « Ma croyance personnelle est que nous devrions attendre encore 10 ou 20 ans pour être réellement convaincus que l’effet de serre va être important pour les êtres humains, à la fois de manières positives et négatives. » Il ajouta, « …nous devrions être prudents de ne pas déclencher trop d’alarmes jusqu’à ce que le taux et la quantité de réchauffement deviennent plus clairs. »
Et en 1991, Revelle s’associa à Chauncey Starr, directeur fondateur du Electric Power Research Institute et Fred Singer, le premier directeur du service météo satellite des États-Unis, pour écrire un article dans le magazine Cosmos. Ils demandaient d’autres recherches et suppliaient les scientifiques et les gouvernements de ne pas aller trop vite à réfréner les émissions de CO2 à effet de serre parce que le véritable impact du dioxyde de carbone n’était pas du tout certain et réfréner l’utilisation des carburants fossiles pouvait avoir un impact négatif sur l’économie, les emplois et notre niveau de vie. J’ai discuté de cette collaboration avec le Dr Singer. Il m’assure que Revelle était considérablement plus certain qu’il était à l’époque ou le dioxyde de carbone n’était pas un problème.
Est-ce que Roger Revelle était présent à l’enclave d’été du Bohemian Grove au nord de la Californie de l’été 1990 pendant qu’il travaillait sur cet article ? A-t-il fait un discours au bord du lac aux personnages influents de Washington et Wall Street dans lequel il s’excusait d’avoir envoyé le GIEC des Nations Unies et Al Gore dans cette vaine poursuite du réchauffement global ? A-t-il dit que la conjecture scientifique clé de sa vie se révéla fausse ? La réponse à ces questions est : « Je le pense, mais je ne le sais pas avec une certitude absolue ». Je n’ai pas réussi à en avoir la confirmation pour le moment. C’est un peu comme Las Vegas, ce qui est dit au Bohemain Grove reste au Bohemian Grove. Il n’y a pas de transcriptions ou d’enregistrements et les gens qui y assistent sont encouragés à ne pas parler. Pourtant, le sujet est si important que certains l’ont partagé avec moi de manière informelle.
Roger Revelle est mort d’une crise cardiaque trois mois après la publication de l’article dans Cosmos. Ah ! je souhaiterais tellement qu’il soit encore vivant aujourd’hui. Il aurait peut-être été capable d’arrêter cette stupidité scientifique et de mettre fin à l’escroquerie du réchauffement climatique.
Al Gore a rejeté le mea culpa de Roger Revelle comme étant un acte d’un vieil homme sénile. Et l’année suivante, dans la course à la vice-présidence, il a dit que la science derrière le réchauffement global est établie et qu’il n’y aura plus de débats. À partir de 1992 et jusqu’à aujourd’hui, lui et ses cohortes ont refusé de débattre du réchauffement global et quand on les interroge sur nous les sceptiques, ils nous insultent et nous traient de tous les noms.
Ainsi aujourd’hui le dioxyde de carbone est accepté comme coupable du réchauffement global. Il a été conclu que, quand nous brûlons des carburants fossiles, nous libérions une trace ignoble de carbone que nous devions payer à Al Gore ou aux écologistes pour compensation. Nos gouvernements à tous les niveaux envisagent de taxer l’utilisation des carburants fossiles. L’agence fédérale de protection de l’environnement est sur le point de labelliser le CO2 comme étant un polluant et réguler strictement son utilisation pour protéger notre climat. Le nouveau président et le Congrès suivent le mouvement. De nombreux gouvernements d’autres pays avancent dans le même sens.
Nous souffrons déjà de cette maladie du CO2 de nombreuses manières. Notre politique énergétique a été rigoureusement entravée par manque de forages et de nouvelles raffineries depuis des décennies. Chaque fois que nous faisons le plein, nous payons pour la pénurie que cela a créée. Au sommet de tout ça, le truc de l’éthanol d’origine végétale nous coûte des millions de dollars en impôts. Cela a aussi fait grimper les prix de l’alimentation. Et tout ceci est loin d’être fini.
Et je suis totalement convaincu qu’il n’y a pas de fondement scientifique pour quoi que ce soit.
Le réchauffement global. C’est un canular. C’est de la mauvaise science. C’est un détournement de la politique publique. Ce n’est pas une plaisanterie. C’est la plus grande escroquerie de l’histoire.